Mon mari travaille dans la publicité et est “un créatif”. Eh bien, je remarque qu’au lit aussi, il me surprend souvent avec quelque chose de nouveau. Mais dernièrement, il semblait que ses pensées n’étaient pas tout à fait là et c’est ce que je lui ai demandé lorsque nous nous sommes assis ensemble à la table du petit déjeuner un dimanche matin. Après quelques insistances, il est apparu qu’il avait récemment été mis en relation avec un “copywrighter” pour réaliser de belles publicités avec qui, pour une raison quelconque, cela n’a pas vraiment marché. Je lui ai demandé en riant si ce collègue était parfois une femme, ce à quoi il a répondu, à ma grande surprise, un peu sombrement : “Oui, c’est une femme”, lui ai-je demandé en riant, “N’est-elle pas belle parfois ? “Plutôt bien, bien, je pense que c’est bon”, était la réponse, “Mais tu sais Diaan, il y a quelque chose qui pend entre nous qui ne nous amène pas à faire de bonnes affaires”. “Eh bien, il y a aussi quelque chose entre nous, avec lequel nous pouvons faire de très bonnes affaires”, lui ai-je parlé, je me suis approché de lui et j’ai saisi de ma main sa bite sous son peignoir. “Non, non, sérieusement, Diana, sinon ça va vraiment mal dans mon travail et ça ne nous aide pas” a-t-il dit et m’a regardé droit dans les yeux. J’ai laissé ma main sur sa bite tiède et j’ai dit : “Bien sûr, ma chère, mais pour l’instant nous pouvons continuer, j’ai pu vendre le studio svelte à Marijke, nous pouvons vraiment le diffuser pendant un certain temps” “Oui c’est vrai, mais je veux juste travailler gentiment”, était la réponse. “Je comprends, c’est gentil de ma part”, ai-je dit en lui attrapant la bite un peu plus fermement parce que, malgré ses expressions vocales, elle devenait un peu raide, “Je sais une chose ou deux à ce sujet. Invitez-la à dîner vendredi soir prochain”. “Oh, mon cher, que faites-vous, quel genre de plan faites-vous”, mon mari a ri en saisissant ma robe par les revers et en desserrant la ceinture. “Eh bien, je ne sais pas encore exactement ce que je vais faire, mais faites-moi confiance”, lui dis-je en poussant mes seins dans son visage, et il a commencé à me lécher les tétons comme lui seul peut le faire. J’ai laissé mon peignoir glisser de mon épaule et j’ai gémi : “Oh mon cher bébé, comme c’est merveilleux que tu puisses me lécher les tétons, ça me mouille”, “Oh oui ?”, a dit mon mari, “laisse-moi sentir ? Puis j’ai écarté les jambes et je me suis laissé tomber jusqu’à ses couilles sur son poteau et j’ai commencé à bouger doucement d’avant en arrière. Bientôt, le rythme s’est accéléré et il m’a donné un coup de poing dans la chatte mouillée. Un orgasme béat n’a pas duré longtemps pour nous deux….